Kilari T.8 – An Nakahara

Résumé

Kilari Tsukishima est une jeune collégienne très gourmande et naïve âgée de 14 ans. Un jour, elle rencontre Seiji qui est un célèbre chanteur appartenant au groupe SHIPS. C’est ainsi qu’elle en tomba follement amoureuse. Mais comment va-t-elle faire pour se rapprocher de lui ? Elle va essayer de devenir une grande artiste par tous les moyens. Et c’est là, le commencement d’une aventure longue et périlleuse. Heureusement qu’elle a son petit chat Na-san pour l’aider dans les différentes épreuves qui l’attendent !

Avis

Afin de protéger Hiroto des manigances d’Izumi, Kilari se fait recruter (sous un déguisement) comme assistant pour le tournage aux sources chaudes auxquels les deux jeunes gens doivent participer. Sa maladresse naturelle l’amène cependant à être très vite démasquée.

J’ai passé tellement de temps avec les yeux levés au ciel que j’en ai des crampes aux cils. Sérieusement. J’en suis presque à regretter Arashi. Et cette révélation… Bon, à la décharge de Kilari, ce n’est pas sa faute si l’avant-dernier manga que j’ai lu contenait exactement le même rebondissement, ce qui n’a pas amélioré mon ressenti. Il n’empêche… Izumi, tu espérais QUOI avec ton bikini ? Parce qu’il n’allait pas être rempli aux bons endroits, là !

On est clairement sur un tome assez pathétique, avec un Hiroto qui subit des attouchements toutes les trois pages, et une Kilari qui… Eh bien, se révèle presque compétente, pour une fois, ce qui m’incite à croire qu’ils l’ont clonée et remplacée par un double.

Et Seiji ? Il concourt pour le titre de la meilleure tapisserie. Les pronostics des bookmakers penchent en sa faveur, mais attention à Ray de The Promised Neverland qui se pose en sérieux concurrent.

Non, je plaisante. Pour faire tapisserie, il faudrait qu’il soit présent, or ce n’est pas le cas. Vous vous souvenez, quand j’écrivais que le triangle amoureux était l’unique élément potable de ce shojo ? Parce que moi, j’ai de plus en plus de mal à m’en rappeler !

Seule Fubuki se démarque un peu, je trouve qu’elle a un tantinet plus de profondeur que les autres (comprendre par là qu’eux ont un score quasi négatif), puisque malgré son côté tête à claques, elle n’en est pas moins une rivale honorable, qui ne s’adonne pas aux coups bas.

Oui, je vais chercher loin dans le compliment. Si je continue à racler les fonds de tiroir, bientôt je verrai à travers. Heureusement, la fin se rapproche. Lentement, trop lentement, mais elle se rapproche. Il faudra juste qu’on m’explique comment ce… ça a pu tenir quatorze tomes.

Note : 1.5 / 5

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