Kilari T.7 – An Nakahara

Résumé

Kilari Tsukishima est une jeune collégienne très gourmande et naïve âgée de 14 ans. Un jour, elle rencontre Seiji qui est un célèbre chanteur appartenant au groupe SHIPS. C’est ainsi qu’elle en tomba follement amoureuse. Mais comment va-t-elle faire pour se rapprocher de lui ? Elle va essayer de devenir une grande artiste par tous les moyens. Et c’est là, le commencement d’une aventure longue et périlleuse. Heureusement qu’elle a son petit chat Na-san pour l’aider dans les différentes épreuves qui l’attendent !

Avis

Le tournoi opposant Kilari à Fubuki étant maintenant terminé, la jeune fille peut poursuivre sereinement sa carrière d’idole dans ce septième tome. Sereinement… ou pas, car une débutante énigmatique fait son apparition, et sème le trouble lors de l’enregistrement d’une émission en prétendant être la petite amie d’Hiroto.

Après une courte pause bienvenue dans ce manga, je l’ai repris avec un peu de recul… pour constater que mon opinion à son sujet ne change absolument pas. Une fois de plus, on a un scénario hautement recherché, tellement recherché que j’ai presque eu l’impression de relire le tome 2.

Ce n’est non plus Arashi qui surgit du passé pour s’ériger en prétendant de Kilari, mais Izumi qui sort de nulle part en affirmant qu’Hiroto et elle sont promis l’un à l’autre depuis l’enfance. Là où l’arc d’Arashi avait néanmoins le (seul) mérite d’être bouclé en un volume, celui-ci semble bien parti pour durer, à mon grand dam.

Izumi est comme tous les autres personnages, c’est-à-dire inintéressante, d’autant plus qu’il s’agit d’une copie quasi conforme de cette peste d’Érina. (D’ailleurs, je crois me souvenir que cette dernière avait AUSSI un faible pour Hiroto. Décidément, la mangaka sait se renouveler…)

Et évidemment, elle a un animal. Parce que oui, il n’y en avait pas assez. (Pitié, achevez-moi !) Sans parler de ceux qui débarquent tout droit de l’anime, puisque Kilari prend désormais des airs de crossover entre l’œuvre d’origine et son adaptation.

C’est toujours creux, c’est toujours plein de vide, c’est toujours décourageant pour un public de plus de dix ans. Et en plus, ça tourne en rond. Oh, et Seiji a toujours le charisme d’une plante verte. La preuve, j’allais l’oublier.

Voilà, je crois avoir fait le tour. On se retrouve pour le tome 8. J’ai hâte…

Note : 1.5 / 5

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