Night café : My sweet knights T.1 – Maki Enjoji

Résumé

Veuve à seulement 23 ans, Hina apprend du séduisant avocat de son défunt mari que ce dernier lui a légué un curieux héritage : un immeuble au sein duquel se trouve un café pas comme les autres, le Queen’s Cafe. Tandis que la jeune femme part à la découverte de sa nouvelle propriété, elle perd soudain connaissance. Et quelle n’est pas sa surprise lorsqu’elle se réveille entourée de trois preux chevaliers : de jeunes et beaux serveurs qui gèrent ensemble cet établissement qui n’ouvre qu’à la nuit tombée…

Avis

Night café : My sweet knights est un josei en trois tomes qui débute avec Hina, une jeune veuve héritière d’un café qui n’ouvre qu’à partir de 18h. Sur place, elle fait la connaissance de ses employés, trois beaux et sympathiques garçons, parmi lesquels elle tente de trouver sa place.

Je commence à bien connaître Maki Enjoji pour avoir déjà lu deux de ses mangas (Happy Marriage ?! et Dear Brother !), et si je trouvais jusque-là ses œuvres addictives, ce n’était pas non plus l’amour fou, puisque je relevais à chaque fois un grand nombre de points négatifs.

Eh bien, cette fois, des points négatifs, il y en aura peu, car j’ai passé un excellent moment avec Night café. Bien sûr, ce n’est pas très original, avec une protagoniste qui se retrouve par un coup du sort entourée de trois séduisants chevaliers servants, mais qu’est-ce que j’ai ri !

L’appétit d’Hina, l’intérêt de Yoshi pour l’argent, les tentatives maladroites de l’avocat pour se rapprocher de la jeune femme… Il y a quelques écarts dans le « trop », presque dérangeants (Hina qui se jette sur les gens pour les embrasser quand elle est ivre, et Nozomu qui tente d’en profiter), mais dans l’ensemble, je n’ai quasiment rien à redire.

Les personnages sont attachants, plutôt bien construits, et ils se démarquent très vite les uns des autres. Même si on devine assez aisément qui aura l’honneur de ravir le cœur d’Hina d’ici la fin de l’histoire, je les ai tous appréciés. Même l’importun M. Todô, dont les stratagèmes se retournent systématiquement contre lui.

Le fait que l’héroïne soit veuve change un peu de ce que j’ai pu lire jusqu’à présent, dommage qu’on se doute qu’en trois tomes, sa promesse de rester fidèle et dévouée à son amour défunt ne dure (vraiment) pas longtemps.

Un manga pas transcendant d’originalité, donc, mais frais et drôle, avec des protagonistes bien plus marquants que ceux auxquels Maki Enjoji m’a habituée. J’ai hâte de les retrouver au Queen’s Café pour la suite !

Note : 4 / 5

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