Comme elles T.4 – Sakura Fujisue

Résumé

Kazumi reçoit par mail anonyme une photo d’elle et de Miyata. Décidée à élucider ce mystère, elle s’adresse à son ancien agresseur qui en profite pour la droguer à l’aide d’un ami. Elle parvient à leur échapper et tombe sur Kanori. Elle refuse de parler, mais le contact avec son ancienne amie, bien que fragile, semble rétabli. Kanori en parle à Kôta et découvre qu’il était au courant de ce coup monté !

Avis

Kanori soupçonne ce qui est arrivé à Kazumi, mais ne sait pas comment, ni même si elle doit aborder le sujet dans ce quatrième tome de Comme elles. Quant à son ancienne meilleure amie, elle n’est malheureusement pas au bout de ses peines.

Cette critique sera courte, puisque je n’ai rien de plus à écrire au sujet de ce manga qui ne se trouve pas déjà dans les précédentes. C’est toujours confus, toujours très plat, et toujours raconté avec ce même ton détaché qui me laisse perplexe depuis le début.

On parle de viol (et même de tentatives de viol en série, désormais), de violence conjugale et autres joyeusetés, et… Rien. On a une Kanori qui se préoccupe légèrement du sort d’autrui, et puis… Bah c’est tout. Mais elle y pense, donc j’imagine que c’est mieux que rien.

Et Kazumi… Je ne sais pas. Un type qui vous a déjà violée une fois vous donne rendez-vous tard le soir loin de chez vous, vous avez une petite alarme qui se met à clignoter dans votre tête ou vous y allez quand même, « parce que » ? D’accord, il ne faut pas blâmer les victimes, mais à un moment, tu ne cours pas au bord d’une falaise avec un couteau dans chaque main, ça s’appelle du bon sens.

Je n’aborderai même pas le sujet d’Ena, je ne comprends toujours pas pourquoi Kazumi s’accroche autant à lui (parce qu’elle ne veut pas être seule, sauf qu’en fait elle veut être seule, mais lui, le connard de service, lui suffit à ne pas se sentir seule et aimée… Oui, logiiiiiiiiique !).

Ah, et j’allais oublier le petit dernier. Le type dont je n’ai pas retenu le nom qui est amoureux d’elle. Ou peut-être pas tant que ça, du coup. J’hésite entre « c’est pas hyper clair » (à l’image du reste du manga, vous me direz) ou lever les yeux au ciel dans un soupir.

C’est donc ce que je vais faire. Lever les yeux au ciel en soupirant. Et laisser Comme elles derrière moi. Je suis allée suffisamment loin pour savoir qu’il est inutile que je m’acharne.

Note : 2 / 5

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